Discussion avec Bernard Lubat, filmée par Les mutins de pangée à L’Estaminet à Uzeste.
J’ai fait plusieurs stages avec Bernard Lubat à Uzeste. À chaque fois que je l’entends, ça me remet les idées à l’endroit, enfin à l’envers, enfin voilà quoi. Sa façon de parler de la musique dans cet entretien parle pour moi de démarches d’éducation populaire.
Quatre vidéos autour de l’ouvrage « Organisons-nous ! Manuel critique » (ed. Hors d’atteinte, novembre 2019), par son autrice, Adeline de Lépinay (animatrice de ce blog) :
Deux vidéos longues, qui sont les captations de deux soirées-débat. La présentation est différente dans ces deux vidéos (découpage précis au-dessus de chacune de ces vidéos)
Une vidéo courte qui introduit l’ouvrage
Une vidéo courte pour répondre à trois questions autour de l’éducation populaire et du community organizing
Également : une autre vidéo sur le community organizing
Et huit pastilles vidéos sur l’organizing
Et en bas de page : une présentation en facilitation visuelle réalisée par Chloé Lailic à partir d’une rencontre qui a eu lieu le 4 décembre 2020.
Parce que je n’ai surtout pas envie de perdre la trace de cette tribune de Virgine Despentes publiée le 1er mars 2020 sur le site de Libération suite à la cérémonie des Césars, je la reproduis ici. Bravo et Merci à elle, à Adèle Haenel, à toutes celles et tous ceux qui se lèvent et refusent de se taire.
Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture, vous, les puissants, vous exigez le respect entier et constant. Ça vaut pour le viol, les exactions de votre police, les césars, votre réforme des retraites. En prime, il vous faut le silence de victimes.
Je reproduis ici un texte de Christian Mahieux du 19 janvier, publié initialement sur le site À l’encontre.
La grève nationale interprofessionnelle a démarré le 5 décembre 2019; nous sommes le 19 janvier. 46 jours après, comment s’étonner que le mouvement prenne d’autres formes? Car, telle est bien la situation: il n’est plus juste de parler de grève générale, ni généralisée; mais gouvernement et patronat seraient bien présomptueux s’ils pensaient que le mouvement est fini.
Un article d’Irène Pereira, publié le 30 août 2019 sur le site du Courrier
Qu’est-ce qu’un-e allié·e ? Cette notion est utilisée dans certains milieux militants pour désigner une personne qui ne subit pas directement une oppression, mais qui désire soutenir dans leurs luttes les personnes directement concernées. Il existe toute une réflexion militante autour de la posture de l’allié·e.
Être un ou une allié·e n’est pas une position sociale. On n’est pas allié·e comme on est une femme ou un homme, une personne de milieu populaire ou de classe moyenne supérieure. Être allié·e, c’est un choix éthico-politique. C’est faire le choix, alors que l’on bénéficie de certains privilèges sociaux, de les considérer comme injustes et d’aider à lutter contre les inégalités sociales et/ou les discriminations qui y sont liées.
Les éditions Le Poing – Presse Libertaire nous proposent une brochure extrêmement argumentée intitulée « Quelles règles pour les radicaux ? Plongée critique dans Rules for Radicals de Saul Alinsky ».
Analysant la posture d’entrepreneur politique, de professionnel de la radicalité, l’auteur va chercher dans l’ouvrage d’Alinsky Rules for Radicals de quoi analyser l’idéologie et les pratiques de ce dernier.
La coopérative d’éducation populaire La Braise a réalisé une vidéo pour donner quelques pistes pratiques en termes de distribution de la parole. À voir pour s’en inspirer !
Les droits culturels constituent une vision de la Culture fondée sur les notions de droit créance, de diversité et d’identité. Pour ses promoteurs qui cherchent à faire reconnaître cette notion comme « droit fondamental », il visent à garantir à chacun la liberté de vivre son identité culturelle, comprise comme « l’ensemble des références culturelles par lesquelles une personne, seule ou en commun, se définit, se constitue, communique et entend être reconnue dans sa dignité » (Déclaration de Fribourg sur les droits culturels, 2007).
Le « Petit Guide pour plus d’autonomie, de créativité, d’efficacité, de radicalité et de solidarité dans la lutte » (réalisé par Partager c’est sympa) comprend une vidéo ci-dessous, ainsi qu’un document de deux pages à télécharger ici.
Les 26 et 27 janvier 2019, des Gilets jaunes de toute la France se sont retrouvé-es à Commercy pour la première Assemblée des Assemblées. Plus de 350 personnes ont été présentes, et 75 délégations de groupes de Gilets jaunes.
Lire les paroles de cette version des Gilets jaunes, ainsi que la déclaration de fin.