Comment expliquer qu’une partie de la classe ouvrière procure aux conservateurs les moyens politiques de démanteler les protections autrefois arrachées par le monde ouvrier ?
Dans la préface du livre de Thomas Franck, « Pourquoi les pauvres votent à droite ? » (paru en août 2013 aux éditions Agone), Serge Halimi livre une analyse passionnante, à découvrir intégralement ici. Pour celles et ceux qui ne veulent pas lire l’intégralité de ce texte, j’en reprends ci-dessous quelques extraits (et j’espère que ça vous donnera l’envie de tout lire !)
Je vous en propose des extraits choisis, l’idée étant de vous donner envie de lire l’ensemble de ce texte…
Pour éviter les soignant-e-s aux pratiques sexistes, lesbophobes, transphobes, putophobes, racistes, classistes, validistes, etc. : suivre cette liste blanche collaborative qui recense des professionnel-le-s recommandé-e-s ! Consulter le site Gyn&co
Le plus souvent, le racisme est perçu comme un sentiment individuel, en grande partie parce que les mouvements et politiques anti-racistes contribuent largement à le cadrer ainsi. Pourtant, du point de vue sociologique, ce n’est pas cela le racisme. Le racisme, c’est un système. A lire sur le blog « Une heure de peine »
« C’est grâce à Franz Fanon que nous savons aujourd’hui que le colonialisme n’est pas toujours ce que l’on croit. Est en premier colonisé l’esprit du colonisateur. »
Par l’association Intermèdes-Robinson, qui fait de la pédagogie sociale. A lire sur leur site, août 2014
Racisme, narcissisme… Selon les universitaires états-uniens, la culture coloniale n’a pas disparu en France. À lire sur le site du Nouvel Obs, mai 2014
Démarches collectives pour l'émancipation et la transformation sociale